jeudi 24 novembre 2011

Science fiction et procréation

Le saviez-vous? Des scientifiques travaillent depuis plus de 50 ans déjà à la création d’une machine, laquelle permettrait la gestation complète d’un embryon, de la fécondation à la naissance, donc, sans le moindre contact avec un corps féminin. Une fécondation in vitro, dans un utérus artificiel, finalement.Non, cette machine ne verra pas le jour demain matin. Mais on n’en n’est pas si loin, fait valoir une sociologue québécoise, rencontrée hier (mon papier est publié ici aujourd’hui). D’où l’importance de questionner l’intérêt de telles recherches, dit-elle.Scientifiquement, on comprend que cet “utérus” permettrait d’en finir avec les problèmes de fertilité, d’une part, et de mieux encadrer le développement du foetus, d’autre part. Sous cet angle purement “médical”, dur d’être contre. Mais éthiquement, moralement, socialement? Quoi penser de ces enfants nés d’une machine? De ces parents qui pourraient ainsi contrôler tous les paramètres de leur futur enfant? De ce pouvoir que nous aurions d’aller ainsi contre la nature? Jusqu’où peut-on aller dans l’hyper-médicalisation de la procréation, finalement?Visiblement inquiète, la sociologue conclut en ces termes: «Oui, l’utérus artificiel est plein de promesses. Mais est-ce qu’au nom des bienfaits promis, on ne peut plus dire non à rien?»Et vous, qu’en pensez-vous? Pour ou contre?

Source: cyberpresse.ca

mardi 22 novembre 2011

Cinq moyens de sauver le monde

Le réchauffement climatique est en marche. Comment éviter la catastrophe annoncée ? Sollicités par la NASA, les plus grands savants ont imaginé quelques solutions... surprenantes !Le réchauffement climatique est devenu une préoccupation mondiale. Pour tenter de sauver la planète avant qu'il ne soit trop tard, la Nasa a organisé en 2006 une conférence sur le climat. Les plus grands scientifiques de la planète, dont le Prix Nobel de chimie Paul Crutzen (1995), étaient invités à proposer leurs "solutions" pour limiter l'augmentation de la température... Dans Cinq moyens de sauver le monde, Jonathan Barker présente cinq projets parmi les plus ambitieux. Des scénarios qui peuvent paraître délirants, mais qui sont peut-être la seule chance de préserver les grands équilibres écologiques. Le réalisateur a suivi ces chercheurs passionnés aux États-Unis, en Australie, en Écosse et en Angleterre.

La veritable histoire de Jurassik Park

À l'heure où Steven Spielberg serait en train de réfléchir activement au quatrième opus (le début d'une nouvelle trilogie, ose-t-on même murmurer...), Jurassic Park fait l'objet d'un zoom arrière dans la passionnante série de France 5.


Pour rappel, nous sommes en 1990 lorsque le terrifiant roman de Michael Crichton sort dans nos librairies. L'ami Spielberg le dévore et s'octroie immédiatement les droits, excité à l'idée de pouvoir faire revivre les dinosaures sur grand écran via la boîte d'effets spéciaux de son pote George Lucas (ILM). Inutile de dire que le succès est planétaire: le film récoltera au final près d'un milliard de dollars. On se souvient qu'à l'époque, déjà, les théories les plus folles allaient gommer quelques frontières entre la réalité et la fiction. Avec cette question simple: est-il réellement possible de recréer des dinosaures en prélevant leur ADN dans des moustiques fossilisés? Vingt ans plus tard, les scientifiques ont eu le temps de peaufiner le dossier... et de nous faire peur à leur tour.

lundi 21 novembre 2011

Bientôt une prise de courant économique et écologique


Son nom est Eco-Socket, et elle a le mérite d'être « intelligente », plutôt que de laisser un appareil à batterie branché alors que celui-ci est chargé complètement, l'Eco-Socket éjecte la prise grâce à son mécanisme. Une innovation au concept simpliste qui a été imaginée par le designer Ya-Hui Chi et a été réalisée pour le concours Liteon Award 2011. Elle sera peut-être un jour dans votre habitat.


Future Mercedes Classe S - Un concentré de technologie


Mercedes lancera l’année prochaine sa nouvelle Classe S. Quatre variantes seront au programme : la berline sera lancée la première fin 2012, viendront ensuite la limousine et le coupé (qui remplacera l’actuelle CL) en 2013. Enfin, et c’est une première pour la classe S, une version cabriolet verra le jour en 2014, sur la base du coupé.

Le constructeur vient de dévoiler les caractéristiques techniques de l’auto. La Classe S sera comme toujours bardée d’électronique et de technologie. La plus étonnante d’entre elles est certainement la « conduite autonome à basse vitesse ». L’auto pourra circuler en totale autonomie jusqu’à 40 km/h (dans les embouteillages par exemple), grâce notamment à plusieurs caméras et capteurs contrôlant la vitesse et la distance de sécurité. Selon Stefan Schweher, ingénieur de la marque, « ce système permet au conducteur de se concentrer sur autre chose que la conduite au milieu du trafic ».Autre nouveauté, la technologie Magic Body Control. Ce système, inauguré sur le concept Mercedes F700, utilise différentes caméras qui analysent l’état de la route, pour adapter intelligemment et en temps réel l’amortissement, et ce, indépendamment sur chaque ressort.Côté motorisations, le S350CDI fera son retour et sera certainement le plus vendu. Deux autres diesels feront leur apparition : les S300 et S400 Bluetec Hybrid, combinant des V6 diesels à un moteur électrique de 20 ch. Plusieurs Classe S essence seront également au programme : les S500 et S600 respectivement équipées de V8 et V12, ainsi que les exclusives S63 et S65 A.M.G. Une grande partie des blocs de la Classe S sera accouplée à une nouvelle boîte de vitesses automatique à neuf rapports.

La future BMW M6 Cabriolet enlève le haut




La nouvelle BMW M6, ce n'est sans doute plus qu'une question de jours ou de semaines avant la présentation officielle. Le camouflage n'a cessé de régresser sur les mulets observés depuis quelques temps.



dimanche 20 novembre 2011

La moto du film Tron existe pour de vrai




Les films Tron de Disney ne font pas forcément partie des chefs d’œuvre du cinéma. Pourtant, l’atmosphère futuriste et ultra design qui s’en dégage ne laisse personne insensible, comment ne pas être admiratif devant les fameux light cycles, ces motos géniales à bord desquelles les héros s’affrontent dans un jeu d’arcade grandeur nature. Deux fanatiques de tuning ont réussi à transposer le virtuel dans la réalité, en construisant un véritable light cycle électrique! En réalité, les frères Parker n’en sont pas à leur coup d’essai : ils avaient déjà conçu un premier modèle de light cycle l’année dernière, alimenté par un moteur essence. Ils remettent aujourd’hui le couvert avec une nouvelle version, cette fois-ci entièrement électrique. La bête peut faire des pointes à environ 160 km/h, avec une autonomie de 160 km en une seule charge (oui, ça veut dire qu’en gros on peut conduire à fond la caisse pendant une heure). Le temps de recharge n’est d’ailleurs que de 35 minutes. Le prix de cette nouvelle moto surréaliste n’est pas encore connu, mais ne devrait pas être bien différent du premier modèle à essence, commercialisé pour la coquette somme de 55 000 $ ! Mais à ce prix là, vous avez une véritable moto Tron, et comme vous allez le voir sur la vidéo, on ne passe pas inaperçu à bord de ce genre d’engin.

vendredi 18 novembre 2011

Orbit Wheel - Nouveau Rollers

A mi-chemin entre les rollers et le skateboard


L'originalité des "Orbit Wheels" réside dans le fait que le pied se trouve à l'intérieur de la roue, et non au-dessus. Cette innovation technologique permet d'avoir les jambes indépendantes et de prendre de la vitesse en créant des oscillations avec les pieds. Pour y parvenir, il faut s'appuyer successivement sur l'avant du pied et le talon pour faire avancé la planche avec l'aide de la rotation du bassin. On peut aussi sauter des obstacles en saisissant les poignées des skates. Le vidéo-clip nous montre le fonctionnement de ce nouveau mode de locomotion, n'hésitez pas à le visionner pour vous faire une meilleure idée de cette planche de surf urbain.


Projection 3D sur la façade du Kulturbrauerei à Berlin en 2010.



Projection 3D qui a eu lieu sur la célèbre façade du Kulturbrauerei à Berlin, en Alemangne. En utilisant les caractéristiques architecturales du monument comme support de narration, le virtuel et la réalité se onfondent. Et le robot mascotte d’Android a très bien été exploité, rendant un effet visuel saisissant. Le « façade mapping » est aujourd’hui entre l’affichage publicitaire et l’événement multimédia l'intègre aussi. Avec cette projection qui a eu lieu en septembre 2010,l e slogan « Optimize your life » prend tout son sens.